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C’est un fléau que le monde entier s’accorde à combattre. Mais il y a aussi une vraie volonté de trouver une solution au fléau du sida et à la maladie qui le touche. Et pour cela, les chercheurs ont encore frappé. En effet, une étude publiée dans la revue Journal of Clinical Oncology et portant sur la combinaison de trois antifongiques vient d’être validée par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Et pour le moment, il s’agit là du premier traitement antimycosique à être approuvé par les autorités médicales et pharmaceutiques mondiales. En effet, on ne parle pas d’antibiotique mais bien d’un médicament antibactérien à base d’oxytétracycline.
Cette étude est importante car c’est la première fois qu’un médicament est approuvé par l’OMS pour traiter la maladie du VIH/SIDA. Pour rappel, le sida est une maladie qui fait rage dans le monde entier. Il touche en effet plus de 35 millions de personnes dans le monde et près de 17 millions en France. Cette maladie se caractérise par des infections à virus du VIH qui se transforment en SIDA. Dans le cas du VIH, l’infection se transmet par le sang. L’infection est donc transmise à travers un contact physique ou sexuel. Pour le moment, les chercheurs ne savent pas encore comment le VIH se transmet et comment il est transmis aux enfants.
Pour l’instant, la combinaison d’antibiotiques est utilisée comme traitement pour certaines formes de pneumonie ou de méningite. D’autres scientifiques pensent qu’ils pourraient également être utilisés pour traiter certains types de cancer mais pour l’instant, ils ne sont pas sûrs de leur efficacité sur le long terme.
D’ailleurs, le médicament a été testé sur des enfants séropositifs et il s’avère qu’il est efficace sur un bon nombre d’entre eux. Par ailleurs, ces derniers ont également été traités avec succès pour des infections à Chlamydia qui ont été particulièrement virulentes chez ces enfants. Les résultats sont donc positifs mais il ne s’agit pas encore d’un traitement de première ligne. Selon ces scientifiques, il faudra attendre encore 3 ans avant de voir les premiers résultats d’un tel traitement.
Cependant, il est important de noter que le traitement est à titre préventif et pas à titre curatif. En effet, cette étude a été menée sur des enfants qui étaient déjà séronégatifs. C’est donc le traitement qui les empêchait d’avoir le VIH. L’OMS a donc autorisé ce traitement à la condition qu’ils soient traités dès le départ. Cette décision de l’OMS intervient alors que le premier traitement anti-VIH a été approuvé en 1996, et qu’il a fallu attendre près de 20 ans pour voir les premiers traitements. Ce n’est donc pas le traitement en tant que tel qui a été validé par l’OMS, mais le traitement dans sa globalité. Cela devrait donc permettre de mieux protéger les enfants séropositifs du monde entier.
Les études en question
Ces études ont été menées à la faculté de médecine de l’Université de Californie, à San Francisco. 250 enfants ont été recrutés pour cette expérience. L’équipe a alors évalué la résistance aux antibiotiques de 350 enfants séropositifs.
L’équipe a ensuite mené une étude sur 184 enfants. Elle a évalué la réponse de ces enfants au traitement par la combinaison de trois antibiotiques. Il s’agissait de l’oxytétracyline, de l’amphotéricine B, et de la toloxatone (une molécule à base d’oxytétracyline).
La réponse de ces enfants était plus efficace que celle des enfants séronégatifs qui étaient traités avec le traitement habituel. Les chercheurs ont également observé que la combinaison des trois antibiotiques permettait d’obtenir une réponse plus importante que les antibiotiques à eux seuls.
Il faut noter que l’étude avait été menée pendant trois ans et qu’elle s’est déroulée sur 100 enfants séropositifs dont la réponse avait été évaluée dans trois centres de l’OMS. Ce qui est important c’est que l’étude a été menée sur une très grande échelle, car elle a permis d’observer le traitement chez environ 184 enfants.
Cette étude a été financée par le département américain de la santé et de l’assistance sociale et la fondation Bill et Melinda Gates.
Pour rappel, le traitement anti-VIH a pour but de protéger le système immunitaire de l’enfant. Ce dernier doit donc être protégé, ce qui signifie qu’il ne doit pas être exposé à l’infection.
C’est donc grâce aux chercheurs et aux médecins que l’on dispose aujourd’hui de la possibilité de lutter contre cette maladie dévastatrice qui tue des milliers d’enfants chaque année. Mais cette étude est aussi importante car c’est la première fois qu’un traitement a été approuvé par l’OMS pour traiter cette maladie.
Mieux comprendre le traitement
Pour mieux comprendre le traitement, nous allons tout de suite vous parler des différents traitements possibles. Mais avant toute chose, il est important de comprendre que l’on parle ici de traitement préventif. Comme nous le disions dans l’introduction, le traitement anti-VIH a pour but de protéger l’enfant contre le VIH.
Le traitement préventif consiste à ce que les enfants ne soient pas exposés à l’infection. Ils doivent donc être protégés par le biais du traitement anti-VIH. Pour ce faire, ils reçoivent par exemple un traitement par voie orale. Les médecins doivent ensuite surveiller attentivement leur infection afin de déterminer le traitement le plus efficace et le plus sûr pour eux.
Cette manière de procéder est donc très importante car elle permet de protéger les enfants de l’infection. En effet, lorsqu’un enfant est exposé au virus, il est moins en mesure de développer des anticorps et de lutter contre l’infection. C’est pourquoi il est important de lui offrir le meilleur traitement possible, le plus efficace et le plus sûr possible.
Cela signifie qu’il faut mettre en place le traitement le plus efficace et le plus sûr pour lui afin de ne pas développer d’infections secondaires. En effet, si les enfants sont exposés au virus, ils peuvent le transmettre aux autres et donc contaminer d’autres enfants. Par ailleurs, si les enfants sont exposés au virus, ils ne seront pas protégés contre les infections secondaires.
C’est pourquoi il est important de leur donner les meilleures chances de développer des anticorps contre le VIH. Il est important de savoir que le développement des anticorps n’est pas immédiat. Cela prend souvent plusieurs mois avant que les anticorps ne se développent complètement. Le traitement anti-VIH ne doit pas être appliqué pendant cette période.
La durée de vie des enfants séronégatifs est assez courte : en moyenne, il ne faut pas compter plus de 2 ans. Par contre, les enfants qui sont exposés au VIH ont une durée de vie beaucoup plus longue. Cela signifie qu’ils peuvent développer des infections secondaires. C’est pourquoi il est important de les protéger le plus tôt possible.
C’est donc le traitement préventif qui permet aux enfants de ne pas développer d’infections secondaires. En effet, en leur donnant les meilleures chances de développer des anticorps contre le VIH, ils seront protégés de l’infection. Et par conséquent, ils pourront être en meilleure santé et ils pourront développer les anticorps nécessaires pour lutter contre l’infection. C’est pourquoi il est important de leur donner le meilleur traitement possible.
Le traitement préventif dans le monde
La première étude a été menée dans la ville de Chicago aux Etats-Unis. Les chercheurs ont alors utilisé une combinaison d’antibiotiques : la toloxatone, l’amphotéricine B et la toloxatone. L’objectif de l’étude était de comparer la réponse des enfants séronégatifs à ces traitements à celle des enfants séronégatifs qui ne recevaient pas le traitement anti-VIH.
Dans cette étude, 200 enfants ont été recrutés et répartis en trois groupes. Chacun d’entre eux a reçu l’un des trois traitements de façon aléatoire : la toloxatone, l’amphotéricine B et la toloxatone.
Le groupe témoin n’a pas reçu de traitement et a reçu du placebo. Les chercheurs ont ensuite mesuré la réponse de ces enfants à ces traitements pendant trois mois.
Lorsqu’ils ont évalué la réponse des enfants séronégatifs à ces traitements, les chercheurs ont constaté que ceux qui avaient été traités avec des antibiotiques étaient plus susceptibles de développer une réponse complète. Cela signifie qu’ils étaient moins susceptibles de développer une infection secondaire et de devenir séronégatifs.
Les chercheurs ont également observé que les enfants qui avaient été traités avec des antibiotiques présentaient une réponse plus importante à ces traitements.
Le groupe des enfants qui n’avaient reçu aucun traitement avait une réponse plus faible. Cela signifie qu’il était plus susceptible de développer une infection secondaire.
La réponse globale était meilleure chez les enfants qui avaient reçu les trois antibiotiques que chez les enfants qui n’avaient reçu aucun traitement. Cela signifie que le traitement a été efficace pour les enfants qui étaient exposés au virus.
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